- Kakei-OniGakiVotre premier message !Un premier message sur le forum.Un ancien de Manga-FanPlus de 5 ans sur Manga-Fan.
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Petit Récit fantastique..
Mar 27 Aoû 2013 - 20:03
Voilà cela fait une semaine que j'ai commencé a écrire cette histoire et j’aimerai la faire partager et recueillir vos avis, elle est loin d’être fini ce n'est que le début 

- Spoiler:
Prologue
Sura… Ville située au nord de Meyrin. Alors qu’à l’époque, j’étais encore tout petit, je devais avoir deux ans, voir trois, je ne me souviens plus vraiment. Quelques images refaisaient surface dans mon esprit : Une ville en feu, des gens étranges vêtus de noir, des citoyens tués, brûlés…
Une énorme vision d’horreur.
Les personnes vêtues d’immenses capes noires faisaient partie d’une organisation de l’ombre plus connue sous le nom de Nutyco. Nutyco, comme plusieurs organisations de l’ombre faisaient régner souffrance et chaos dans le monde paisible d’Ulteria. Leur cible cette fois ci était la ville de Sura. Ils pillaient, tuaient, violaient, brûlaient les habitants et les commerces, en l’espace de quelques heures, Sura n'était devenue rien d’autre qu’un champ de ruines consumés par les flammes qui s'élevaient dans les cieux, qui prirent une couleur orangés.
Parmi toutes ses flammes, ses cadavres, ses ruines, je me trouvais la. Les membres de Nutyco ne m’avaient pas trouvé, mes parents qui étaient sortie chercher quelques bricoles pour la maison, avaient du disparaître dans l’effondrement de se dernier. Une voisine était entrée chez nous et m’avait caché puis repartit aussi vite qu’elle était venue.
Ma maison ne fût pas épargnée et comme les autres elle prit feu. Alors qu’elle se consumait et que les débris tombaient les uns après les autres, j’avais quitté la maison aussi vite que je pouvais. La ville n’était plus qu’un immense brasier, je marchais tout en étant déboussolé et en larmes. Je marchais de longues minutes avant de tomber sur les corps tranchés et décapités de mes parents. Pétrifié par la peur je tombais au sol et en sanglots, je me mis à hurler de tristesse.
Le bâtiment qui était situé à coté commençait à tomber, je m’étais levé pour prendre la fuite, mais un énorme morceau de béton m’était tombé sur la jambe ce qui me la fractura et me bloqua par la même occasion. S’en était fini de moi, j’avais beau hurler à l’aide, personne n’avait été épargné dans la ville. Je criais de toute mes forces, mais une pierre m’avait atterrit sur le crâne se qui me fît perdre connaissance.
Je me réveillais enfin, j’aurais du être mort normalement, mais une personne m’avait sauvé à temps. Cette personne se nommait Lysa… Lysa Weber.
Je n’avais aucun souvenir, je ne savais plus qui j’étais ni d’où je venais. Le néant total. Lysa s’approcha de moi et me dis d’une voix douce.
Dit moi mon petit, comment te nommes-tu ?
Comment je m’appelle ?
Je n’arrivais plus à me souvenir de mon propre prénom. Lysa, alors qu’elle me prit dans ses bras et tout en souriant.
Je vois, tu ne te souviens plus de rien. Dans ce cas, je vais te nommé : Julien.
On me fît connaître sous le nom de Julien, Julien l’enfant maudit…
I
L’entrée à l’académie
Début septembre, l’heure de la rentrée, après avoir passé de magnifiques vacances en compagnie de Lysa, nous étions revenus à Edennia trois jours avant le début des cours. Je venais de finir mes études de second cycle et j'eus obtenu le diplôme de fin d’année. J’allais dorénavant étudier dans l’académie de Melkian la ou l’on forme des combattants exorcistes que l’on nomme : Ange de la mort. Leur missions, éradiquer toute forme de vie maléfique sur la planète, ce qui implique aussi le combat entres les anges de la mort et les organisations de l’ombres.
Une fois revenu à la maison, alors que Lysa m’avait raconté mon histoire durant le trajet du retour, je fis choquer par la révélation de cette dernière mais je passais vite à autre chose mais je gardais tout de même cette histoire au fond de moi.
Je vengerais l’honneur de mes défunts parents, j’en fais le serment.
Méfie-toi tout de même, m’avertissait-elle. Nutyco n’est pas n’importe quelle organisation. Et avant de penser à cela, étudie bien dans l’académie et pense à revenir de temps en temps.
Oui, je te le promets.
J’avais préparé toutes mes affaires afin d’aller m’installer dans le pensionnat de l’académie. Les trois jours passèrent à une vitesse ahurissante, le jour J était enfin la. Lysa m’emmena avec sa voiture en direction de Melkian. Le trajet fût assez long, environ deux heures, entre temps le sommeil me pris, la musique que j’avais dans les oreilles me servaient de berceuse.
Une fois arrivé, Lysa me réveilla en me secouant légèrement.
Julien, Julien, nous somme arrivé. Aller réveille toi.
Hum… Attends un peu, je vais l’attraper.
Quoi ?! Mais tu divague mon pauvre aller debout.
Nous étions arrivés, alors que je me réveillais doucement, Lysa en avait profitée pour se rendre en direction du coffre et y sortir mes valises et mes sacs. Le ciel était couvert de nuages gris accompagnés d’une fine pluie qui tombait. Je sortis de la voiture tout en m’étirant le corps.
Lysa et moi, chargés de mes bagages, nous nous dirigeâmes en direction du portail de l’académie. Une grande route de dalles en béton, des verdures longeaient les deux cotés de la route, une fois devant le portail qui était grand d’environ trois mètres de haut et de couleurs doré. Lysa posa mes sacs à terre, puis me tendit sa main droite.
Tiens, lorsque je t’ai trouvé, il y avait ça prêt de ta mère. Elle te revient.
Qu’est-ce que c’est, demandais-je surpris. C’était à ma mère ?
Oui, c’est une bague, je ne c’est pas ce qu’elle représente mais je te la donne, ne la perd surtout pas.
Oui. Merci Lysa.
La bague de ma mère… Une bague simple en argent. Pour ne pas la perdre, j’attachais la bague à ma chaîne qui était autour de mon cou. Avant de partir, Lysa me prit dans ses bras et reprit le chemin en sens inverse. Me voilà donc devant l’académie de Melkian, je pris donc mes sacs ainsi que mes valises puis me dirigeais tant bien que mal vers le secrétariat afin d’y déposer mon dossier d’inscription.
Le secrétariat de l’académie était impressionnant, d'une grandeur peu commune, des décorations anciennes, tout comme le reste de l'académie. Alors que j'avais posé mes bagages près d'un banc du hall d'entrée, je me dirigeai vers le bureau afin d'y clore mon inscription. La personne qui se tenait derrière le bureau était une femme, la cinquantaine environs, cheveux gris claire, voir argenté. De petite lunette de vue, un tailleur bleu foncée, il se rapprochait bien plus du noir que du bleu. Je m'avançais donc avec plein de détermination vers son bureau, le dossier d'inscription sous mon bras gauche, arrivé au bureau, je m'installais confortablement sur la chaise, déposais l'enveloppe contenant le dossier.
Bonjour, je viens pour déposer mon dossier d'inscription.
Bonjour, oui merci. Vous êtes le jeune Julien n'est-ce pas ?
Oui en effet c'est moi.
Très bien, le temps que je termine votre inscription vous pouvez aller visiter un peu plus l'académie. Revenez me voir dans environ... Une demi heure.
D'accord, merci.
Je laissais donc mes valises ainsi que mes sacs à coté du banc sachant qu'ils ne risquaient rien. Je quittais donc le hall d'entrée puis me dirigeais vers la cour. Une cour magnifique, très spacieuse, de quoi contenir la majeure partie des élèves de l'établissement. La cour était de forme rectangulaire, plusieurs arbres y étaient plantés, des bancs pour s'y reposer et deux préau pour s'y abriter en cas de forte pluie.
Fatigué par le voyage, je m'installais donc sur un banc, bien que la pluie tombait toujours, je regardais ma montre, elle indiquait dix heures trente, je devais revenir au secrétariat pour onze heure. Je regardais la pluie qui tombait, une légère goutte tomba dans mon œil gauche ce qui me fît pencher la tête vers le sol. Je me frotta l'œil puis l'ouvrit doucement. Je ne sentais plus la pluie tomber sur moi, avait-elle cessée ? Je regarda vers le ciel et j'aperçus du noir. Un parapluie ?
Bonjour. Tu ne devrais pas rester sous la pluie, tu pourrai tomber malade.
Ah ! Oui, répondis-je tout étourdi. Merci.
Enchantée, je m'appelle Marie.
Moi c'est Julien, enchanté.
Une jeune fille venait de faire son apparition devant moi, enfin, derrière. Elle était vêtue d'une jupe noir, d'une veste de costume également noir, de longue chaussettes noir également ainsi que ses chaussures. Il semblerait qu'elle ce soit habillée pour un enterrement, de mon point de vu en tout les cas. Elle avait une longue chevelure blonde, de beaux yeux vert.
Elle fît donc le tour du banc pour se mettre face à moi. Elle me fît un large sourire puis me demanda.
Puis-je m’asseoir à tes cotés ?
Bien sur, répondis-je chaleureusement. Tu as déjà fini ton inscription ?
Ah ça, oui. Tu es en première année non ? Cela se sent.
Comment ça ? M'interrogeais-je. Tu étais la l'année d'avant ?
Et oui ! Répondit-elle tout sourire. En d'autre terme, je suis ton aînée.
Marie était donc en deuxième année, cela m'avait choqué sur le coup. Mais après réflexion pourquoi cela m'avais-t-il choqué à ce point ? Dans cet établissement, il y a quatre années d'étude. Donc il est tout à fait normal de rencontrer des gens plus âgés.
Tu n'as toujours pas reçu ton uniforme n'est-ce pas ?
Mon uniforme ?
Oui, je vais t'expliquer. Dans l'académie de Melkian, tous les étudiants on un uniforme, selon l'année d'étude qu'ils ont, l'uniforme varie. Moi je suis en année IV, notre uniforme est composé uniquement de noir. Les année III, eux ont la veste noir et le pantalon ou la jupe grise, les année II sont totalement en gris,et les année I comme toi, on un pantalon gris et une veste bleu marine.
Ah je vois..
L'académie avait donc un système vestimentaire très strict, cela me plaisais bien. Marie continuait ses dires sur le règlement de l'académie.
Il était temps pour moi de retourner à l'administration histoire d'obtenir les clés de ma chambre et d'y poser mes affaires. Marie devait elle aussi se rendre à l'administration. Nous décidâmes donc de s'y rendre ensemble. Sur le chemin on pouvait voir d'autres élèves qui se dispatchaient dans chaque coin de la cour.
Ils n'ont pas cours ? Demandais-je.
Non, on dit qu'aujourd'hui est le jour de la rentrée, mais en réalité c'est juste une formulation.
Une formulation ?
Oui, quand on dit que c'est la rentrée, les élèves viennent pour déposer leur dossiers d'inscription, prendre leur clés et après ils ont quartier libre jusqu'à ce soir dix-neuf heures.
Je vois, et toi, que vas-tu faire. ?
J'ai rien de prévu. On peut se retrouver sur le banc de tout à l'heure et je te ferai visiter.
Oui. Vers quelle heure ?
Retrouve moi à quatorze heures.
Nous étions arrivés à l'administration, Marie avait pris des document et était partie en me faisant un signe de main. Je venais de faire une belle rencontre et j'en était heureux. Je me dirigeais donc vers le bureau de la secrétaire pour y récupérer mes clés.
Ah M. Julien, vous voici. J'ai fini votre inscription, tenez : Vos clés de chambre, c'est la numéro 114, vos livres de cours et votre uniforme. Vous devez aller directement dans votre chambre et vous mettre en tenue. La cérémonie à lieu dans la salle principale à dix-neuf heures. Voici aussi un plan.
Euh.. Merci.
Je n'avais même pas eu le temps de placer un mot, elle devait sûrement être très occupée. Mes affaires avaient été transportée directement dans ma chambre. D'un coté cela m'arrangeais car avec tout ce que j'avais en mains, impossible de prendre les valises. Je lisais donc le plan. Pour atteindre le dortoir des garçons, je devais traverser la cour et emprunter un petit chemin et j'y étais.
Le dortoir était tout comme l'administration, une structure ancienne. Le dortoir était très large et assez haut, il y avait quatre étages, dont le rez de chaussée. Je m'avançais donc en direction de la porte.
L'intérieur du dortoir n'avait rien à voir avec l'extérieur, une décoration digne d'un château ou d'un palais. Le long couloir était recouvert d'un tapis rouge d'un tissu unique, à lui seul il devait valoir une petite fortune. Sur les cotés, se tenaient des pots de fleurs, tout simplement magnifique. J'allais pendant quatre années vivre dans un véritable petit confort royal. Je devais maintenant trouver ma chambre, cela n'allait pas être chose aisée. J'avançais dans le couloir pour y trouver de l'aide ou une carte, vu la grandeur du dortoir, une carte ne serait de refus. J'aperçus alors une personne descendre des escaliers, je me dirigeais vers cette personne et lui demanda poliment.
Bonjour, voilà je suis un peu perdu. Pouvez vous m'indiquer ou se trouve la chambre 114 s'il vous plaît ?
La chambre 114 ? Toutes les chambres commencent par le chiffre un se trouve aux premier étage.
Merci.
Je montais donc les escaliers, ils étaient eux aussi recouvert d'un tapis rouge. Il semblait que le sol du dortoir soit le même partout. Une fois au premier étage, je vis une multitude d'élèves circulent dans le couloir, certain entraient à peine dans leurs chambres, d'autres en sortaient. J'essayais de me créer un chemin parmi tout ce monde, ce qui n'était pas simple. Tout en me frayant un chemin, je regardais les plaquettes dorée sur les portes noir.
J'étais enfin arrivé devant la porte de ma chambre, comme dans toute les autres chambres, les pensionnaires devaient être au moins deux. Je devais donc avoir avec moi un colocataire. J'entrais donc dans la chambre, la pièce était très spacieuse, on pouvais y mettre quatre élèves au moins. Le sol de la chambre était comme le reste du dortoir, il y avait deux grand lit, deux bureaux, deux armoire et une porte qui était en face de l'entrée.
Les affaires avaient été montées et ranger dans nos armoires, les valises étaient posées sur les lit pour qu'on puisse nous y retrouver. Mon lit était à gauche de l'entrée, je me dirigeais donc vers lui pour y glisser mes valises en dessous. Au même moment, l'autre porte de la chambre s'ouvrit.
Ah ! Tu dois être mon compagnon de chambre je suppose. Enchanté, je m'appelle Maxime.
Euh.. Enchanté, moi c'est Julien.
Désolé de ma tenue, je sors de la douche.
Pas grave.
En effet, le jeune garçon du nom de Maxime n'était vêtue que d'une serviette autour de ses hanches. Il était grand, des cheveux blonds, il avait mon age ce qui devait être normal. Je me dirigeais vers mon lit pour y déposer mon uniforme ainsi que mes cours.
Je me posais aussi sur le lit pour souffler un petit peu. Maxime n'arrêtait pas de faire des aller et retour entre la chambre et la salle de bain. Fatigué, je m'allongeais sur le lit pour me reposer un peu. Ceci fut de courte durée, alors que je regardais le plafond, je vis une tête blonde ce tenir en face de moi.
Dit Julien, tu ferai bien de mettre ton uniforme, c'est bientôt l'heure du repas.
Quoi ? Déjà ?
Oui le repas commence à midi moins quart.
Bah je me change, je te rejoins là-bas..
D'accord. À tout de suite alors.
Je regardais ma montre, elle indiquait onze heures trente, le temps de prendre une petite douche aussi. Je me dirigeais donc vers la salle de bain avec mes accessoires de toilettes ainsi que mon uniforme.
La salle de bain était assez spacieuse, il y avait une baignoire, une cabine de douche et un grand évier avec deux robinet, juste au dessus de celui-ci se tenait un miroir assez large. Je posais mes affaires sur le bord de l'évier, enlevais mes vêtements puis me dirigeais dans la cabine de douche. Au bout de cinq petites minutes je sortis. Une fois sec, j'enfilais mon uniforme, puis me regardais dans la glace.
Il me va plutôt bien.
Une fois sortit de la salle de bain, je pris mon portable et mon baladeur ainsi que mes écouteurs puis quitta la pièce.
Je devais maintenant trouver le réfectoire, ce qui n'allais pas être simple. Je descendis les escaliers du premier étage, puis sortit de l'internat. Le temps ne s'était pas vraiment amélioré, une fine pluie tombait. Je commençais à m'avancer dans une direction aléatoire en me disant que je finirai par le trouver. J'étais partie derrière le dortoir, pensant qu'il serait la, comme il se situait quand j'étais dans les classes inférieurs. Après cinq bonnes minutes de marche, et la pluie qui doublait d'intensités, je me retrouvais face à une énorme tour. À première vu elle semblait sinistre. On pouvait entendre d'étrange bruit émanant de l'intérieur. Je fis quelques pas vers l'arrière, vu que les bruits étaient terriblement effrayant.
La pluie devenait de plus en plus forte, et moi qui n'avait pas de parapluie, j'allais être totalement trempé et être obligé de me changer de nouveau.. D'un coup la pluie au dessus de moi s'arrêta.
Un parapluie ?! Marie ?
Bingo ! S'exclama-t-elle vers moi accompagné d'un grand sourire. Pense à prendre un parapluie quand tu sors petite tête.
Ah ah.. Désolé, je ne pensais pas que le temps aller ce dégrader à ce point.
Que fait tu ici, c'est interdit d'accès sans professeur qui t'accompagne.
Je cherchais le réfectoire et je me suis perdu. Qu'elle est cette tour Marie ?
Je... Je ne sais pas.. Viens nous allons être en retard.
Oui..
Marie devait savoir quelque chose à propos de cette tour mais ne voulais rien me dire. Je marchais à ses cotés. Un silence pris place entre nous, je la regardais de temps en temps. Mon cœur battait à une allure élevé, mon visage était devenu rouge. Cela arrivait à chaque regard que je posais sur Marie. Il faut dire qu'elle était vraiment belle. Marie tourna son visage en ma direction.
Ah ! Mais tu est tout rouge. Que t'arrive-t-il ?
Non.. Rien.. Bafouillais-je. Je n'ai rien.
Fais voir !
Ah..
Marie avait collé son front contre le mien. Son visage étais si près, je pouvais sentir son parfum. Cette situation qui m'embarrassais n'avait que pour effet de me rendre encore plus rouge. Elle fini par décoller son front du mien.
Ouf ! Soupira-t-elle. Tu n'as pas de fièvre.
Hein ?! Ah.. Non, tu vois je te l'avais dis.
Je voulais en être sur. Nous voilà arrivés.
Nous étions donc enfin arrivé au réfectoire. Une façade bien plus récente que les autres bâtiment de l'école. Une grande structure blanche faîte sûrement en béton. L'entrée était automatique. Une fois à l'intérieur, il y avait des casiers pour déposer nos chaussures puis pour y prendre les chaussons. Chaque casier avait un numéro et un lettre. Le numéro de chambre et la première lettre du prénom.
Avec Marie, nous avions déposés le parapluie et nos chaussures, nous nous dirigions donc vers la file lorsque j'entendis crier mon prénom.
Eh ! Julien ! Viens, je t'ai gardé une place.
Je regardais Marie, comme un enfant qui attendait l'autorisation de sa mère. Elle me fît un petit sourire.
Vas-y Julien, moi je vais retrouver des amies. On se voit tout à l'heure.
Oui ! Répondis-je avec un grand sourire.
J'essayais donc de me frayer un chemin au travers de la foule afin de retrouver Maxime. Une fois arrivé, Maxime me regarda tout en souriant. Je trouvais cela suspect. Il me fît une tape dans le dos en disant.
Premier jour, et monsieur se trouve une petite amie, très jolie en plus.
Non, non c'est pas ce que tu crois, c'est juste une am...
En plus une Année IV. Quel veinard tu fais. Ah ah ah !
Mais non !
Ça va je rigole.
La file avançait assez vite. Nous étions enfin entrés dans le réfectoire. Il était immensément grand. Le sol était comme partout, recouvert d'un tapis de couleur rouge, il y avait des tableaux, des statues, des plantes un peu partout dans la pièce. Mais ce qui ce fît remarqué, c'est les quatre grandes tables couverts d'une magnifique nappe blanche. Sur ces nappes étaient inscrit des chiffres romains qui allait de un à quatre. J'en avait donc déduis que cela devait être en fonction de l'année d'étude de l'élevé.
Avec maxime nous prîmes place sur la première table. Je regardais tout autour de moi, les gens qui se trouvait dans le réfectoire, ils se dirigeaient tous vers une même table, la table se trouvait au fond de la salle. Cette table était deux fois plus grande que les autres, il y avait dessus une tonne de nourriture.
Avec Maxime, nous prîmes nos assiettes et nous dirigeâmes vers la grande table. Il y avait plusieurs choix de menu : Poisson grillé, poulet rôti, salade et j'en passe.
Pour moi ce fût poisson grillé. Je retournais donc m’asseoir pour déjeuner. Au loin je pouvais apercevoir Marie qui se trouvait sur la table IV, je n'arrivais pas à enlever mon regard d'elle quand je senti une tape dans le dos.
Faut que tu décroche mon vieux.
De quoi tu parles ?
De rien, ricanait-il. Bon aller à table.
Maxime m'avais sortit de mes pensées, il est vrai que si je continuais de l'observer, cela tournerait vite à l'obsession. Je n'avais pas encore retiré mon regard de Marie, que cette dernière regardait dans ma direction. Elle me regardait puis me fît un sourire, ce qui a eu pour effet de me faire rougir. Sous le coup de l'émotion je fis tomber mon assiette sur le sol.
Ah ! M'exclamais-je.
T'es vraiment un boulet Julien, ricanais Maxime
Je suis désolé. Je reviens.
Je partis en direction du buffet pour me servir, je passais donc de nouveau à coté de la table de Marie, je fis en sorte de ne pas la regarder. Je remplis une nouvelle fois mon assiette et retourna m’asseoir au coté de Maxime.
Alors que tous les élèves de l'académie étaient réunis dans le réfectoire, une apparition astrale au milieu de la salle fis stopper les chahuts qui couvraient la pièce. J'étais très intrigué par cette apparition, que cela pouvait-il être. Toutes les lumières du réfectoire s'étaient éteintes, l'apparition astrale prit petit à petit forme humaine.
Bonjour à tous les élèves présent. Je me présente, je suis la directrice de cet établissement, Veréna Grawinn. Je suis très heureuse de vous accueillir au sein de l’académie de Melkian. J'espère que cette année sera riche en apprentissage et en amitié. Je vous donnerai plus de détails ce soir lors de la cérémonie. Bon appétit à vous.
L'onde astrale était donc la directrice de l'académie. La directrice était une petite femme d'une cinquantaine d'année environs, les cheveux gris argenté. Après la disparition de l'onde astrale, le chahut reprit de nouveau. J'étais encore surpris de l'apparition de la directrice, c'était la première fois que je voyais de la magie en vrai, et j'allais devoir m'y habituer car pendant ces quatre longues années je serai servis en magie. Je regardais de nouveau autour de moi, les années I qui se trouvaient à ma table étaient encore choqué de la manifestation de Mme Grawinn. Maxime lui n'avait pas l'air affecté du tout.
Maxime, t'as vu ça ? C'était génial !
Ouais, sans plus, dit-il en mangeant son poulet. La directrice fait ça tout les ans.
Comment tu c'est cela ?
Ma sœur, Claire, elle est en année III, elle me la évoqué avant de venir ici.
T'as sœur est à Melkian ? Classe.
Ouais sans plus..
La suite du repas était un peu plus calme, j'avais bien compris que Maxime n'avait pas trop apprécié le fait qu'on évoque la présence de sa sœur au sein de l'académie. Nous finîmes de manger puis nous quittâmes la table afin de regagner la salle des cassiers pour y récupérer nos chaussures.
Accompagné de Maxime, nous avions choisi de nous rendre de nouveau dans notre chambre, à ma montre il était treize heure pile, il ne me restais plus qu'à attendre une heure avant de rejoindre Marie dans la cour. Durant tout le trajet du retour, Maxime manifestait un silence qui lui semblait bien inhabituelle. Une fois de retour dans notre chambre, il me dit.
Tu sais, avec ma sœur, on ne c'est jamais bien entendu, des deux enfants de la famille, c'est la préférée et elle est voué a avoir un avenir bien plus brillant que le mien...
Comment ça ? Le questionnais-je. Pourquoi pense tu que ton avenir ne sera pas plus brillant qu'elle ?
Claire à toujours réussi ce qu'elle entreprenait... Moi c'est différent, je suis plus le boulet de la famille qu'autre chose, me dit-il en ricanant. Bref ! Et toi, raconte moi t'as vie, tu as des frère et sœur ?
Non, je n'en ai pas, du moins je crois... Pour te dire vrai j'ai été adopté car mon village natale a été détruit pas une organisation de l'ombre.
Vraiment ?! Laquelle ?
Nutyco. Tu connais ?
Oui, j'ai déjà entendu parlé d'eux, c'est l'une des plus grandes organisations de l'ombre, mais depuis une dizaine d'année on évoque plus ces organisations, des rumeurs disent qu'elles n'existerait plus.
Je n'avais pas eu part de ses rumeurs.
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